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vendredi 13 septembre 2019

Tartine contre Bras d'Acier - 1959


En 1958, Renato Bianconi n’a pas encore les droits de Popeye. Le premier numéro de Braccio di Ferro ne sortira qu’en décembre 1962 mais Popeye est une superstar en Italie comme partout ailleurs.
Nicola Del Principe peut donc être considéré comme le premier dessinateur du Braccio di Ferro version Bianconi avec cette histoire parue en France en septembre 1959 dans Tartine n° 30.
Mais le « Braccio d’Acciao » de Del Principe n’est pas encore le « Braccio di Ferro » de Sbattella, de Sangalli, de Motta, de Dossi et de Coluantoni. C’est même pas le Popeye américain de Segar et Sagendorf… Pas même celui des dessins animés !
Le « Bras d’Acier » de Del Principe n’est ni borgne ni tatoué et il ne tire pas sa force des épinards mais des petits pois !
... et vu la rouste monumentale qu’il prend à la fin, c’est pas demain la veille qu’il détrônera Tartine !

Publication originale :  Soldino (Edizioni Bianconi, 1957 series) n° 7/1959 (juillet 1959)
Titre original :  "Il fiore che non raccolsi"
Les scans de l'histoire originale  sur le site Retronika : Nonna Abelarda contro Bracciodilegno la storia completa in italiano (1959)
























jeudi 7 décembre 2017

Popeye: À chacun sa mode - 1981

La France est aujourd'hui au bord la guerre civile entre ceux pour qui Johnny Hallyday était le roi du rock et les puristes qui frisent la crise cardiaque quand ils entendent associés "Johnny" et "rock 'n' roll".
Popeye, lui, en a rien à foutre de ces querelles à la mords-moi-le-nœud et il a bien raison ! Tel Johnny, il traverse les modes comme une fusée ! Un coup je suis rockeur, un coup je suis beatnik, un coup je suis punk !
C'est Alberico Motta et Pierluigi Sangalli qui nous narraient cette épopée fabuleuse en janvier 1981 dans le Cap'tain Présente Popeye n° 218 bis...







jeudi 8 septembre 2016

Popeye: Heureux qui comme Ulysse

On doit la version Bianconienne de l’Odyssée aux deux aèdes des sixties, Pierluigi Sangalli (dessins) et Sandro Dossi (encrage) qui nous offrent ici une aventure exceptionnelle avec la quasi totalité des protagonistes de l'univers du Popeye italien à l’exception de Timothée qui est le grand absent de cette réunion de famille homérique. Sandro Dossi me raconte qu'au tout début du Popeye italien, les dessinateurs s’efforçaient d'utiliser le maximum de personnages dans les histoires mais qu'ils ont vite été limités à cause du nombre de pages des épisodes. C'est pourquoi  rapidement ils ont créé les couples de personnages (Poupa / Gontran, Mimosa / Olive, Georges le géant / Popeye) pour les back-up stories afin de placer un maximum de personnages de l'écurie "Braccio di Ferro" dans chaque numéro.